Malaryel le noir

Maudit soit celui qui vie et meurent sans avoir vus la lumière du savoir car ces dans l'ombre de l'ignorance que naît la bête immonde naper du manteaux fument de la haine. C'est dans ces circonstanse que naît la flotte noir du déséspoire Malaryel. Les peuple isolé de la lune Héborian ce batairent entre eux et aveglé par leur haine commirent l'iréparable en détruisant leur planête et la mort de plus de 6 milliard de personne fit une fisure dans le warp aspirent les âmes êrante des eldars. Les premier jours rien ne se passa mais tres vite d'immense mastodonte sortirent d'une immense faille warp. l'intérieur de ses vaisseaux celeste etait vide mais tres vite des squellete parsiellement musclé furent apairsut avant de disparaitre dans un crie de douleurs et au bout d'un mois des eldars aux yeus uniquement vert aparurent pres d'immense arbre de moelle spéctrale et tres vite un nouveaux vaisseaux monde naquît

Je coule dans vos veines
Je dévore votre âme
Je suis l'ombre qui masque vos vie
Je suis le noir qui dévore vos joie

Je suis la Haine

Il regardait l'espace a travers un dôme dans la salle du conseil, il prit dans une coupe un fruit maron et fripé qu'il mit dans sa bouche, un dout jus sucré coulat dans sa gorge et lui donnat une sensation de bien être. Voilat seulement trois jours que le sang battait a nouveaux dans ces veine et c'était le seul plaîsir auquelle il put goûter. Il tendit une fois de plus sa main vers la coupe/

-"Ce n'ait pas bon pour vous"
-"Toujours a veillait au grains Adalan"dit le prophète en reculant sa main du recipient " vous devriez en prendre un"
-"Je n'ai pas faim" répondit l'éxarque
-"Vous devriez c'est un des râre plaisir que nous avons encore. Comment ce porte nos temple."
-"Bien il reprénent leur ésprit "
-"Qu'il prennent leur temps il nos faut point d'ésprit faible"
-"Je part les informer de cela"
-"Faite donc"

Il regardat les étoile pensent a sa famille surment morte, a la belle Kalana sa femme a c'est parents et pour la premiere fois de sa nouvelle vie ferma les yeux avant de pleuré

Son coeur battait à toute allure, son groupe de scorpion massacré par une bande de space marine du chaos. Il avait couru pendant plus d'une heure pour fuir la folie sanguinaire du combat. Le jeune scorpion s'adossa sur un mur en ruine et souffla un instant, il entendit des rires non loin et toujours caché dans les décombres il regarda, il vit des servants de Nurgle portant à leurs ceinturons les têtes de ses camarades, une haine sans nom le dévora de l'intérieur et tel un tueur silencieux il courut vers le groupe d'hérétiques. Le premier put à peine achever sa phrase que sa tête commençait son itinéraire vers le sol le second tenta de dégainer mais avant même la fin de son mouvement une épée lui transperçait déjà le thorax. Plusieurs Hommes tentèrent alors de répliquer mais l'Eldar semblait se rire des attaques adverses et dans une danse macabre découper ses ennemies comme du papier. Alors qu'il fut seul au milieu des restes sanglant des infidèles il poussa des cris terrifiants comme le cri de la haine même et disparut dans la brume

Edit Arnar : Y a encore des fautes, mais ça s'améliore...

vive le corecteur mais y fait pas tout

sans les fautes et les lettres de couleurs

Son coeur battait à toute allure, son groupe de scorpion massacré par une bande de space marine du chaos. Il avait couru pendant plus d'une heure pour fuir la folie sanguinaire du combat. Le jeune scorpion s'adossa sur un mur en ruine et souffla un instant, il entendit des rires non loin et toujours caché dans les décombres il regarda, il vit des servants de Nurgle portant à leurs ceinturons les têtes de ses camarades, une haine sans nom le dévora de l'intérieur et tel un tueur silencieux il courut vers le groupe d'hérétiques. Le premier put à peine achever sa phrase que sa tête commençait son itinéraire vers le sol le second tenta de dégainer mais avant même la fin de son mouvement une épée lui transperçait déjà le thorax. Plusieurs Hommes tentèrent alors de répliquer mais l'Eldar semblait se rire des attaques adverses et dans une danse macabre découper ses ennemies comme du papier. Alors qu'il fut seul au milieu des restes sanglant des infidèles il poussa des cris terrifiants comme le cri de la haine même et disparut dans la brume

Quand passons-nous du rêve au cauchemar, à quelle instant passons-nous de l'autre côté de la barrière. Je me posse souvent cette question. Mes compatriotes me disent souvent de penser au présent je ne peux m'empêcher de me rappelé de la chute qui fit de nous des vagabonds alors que nous dominions naguerre la galaxie. nous sommes à présent quoi quand disent mes amis rien d'autre qu'une de ses races qui on si peut d'importance dans ce monde. Nous ne sommes plus ce fier conquérant qui peuple nous légendes mais un peuple apeuré fuyant son destin. Pourquoi sommes-nous revenus des limbes avons-nous un rôle a joué dans cet univers hostile ou ne sommes-nous qu'un vaisseaux monde de plus je ne sais point, quelle honte moi le grand prophète de Malaryel ne voit l'avenir que sous la forme d'un épais nuage de brume rouge dans laquelle je vois notre race dépérir, chaque nuit les morts des batailles passées vienne me tourmenter me demandants pourquoi, à quoi a servi leur mort et moi je reste mues devant ce spectacle maccabre de chair pourrie flottant dans ma chambre criant au désséspoir, je sens leur main froide et putride se possait sur ma gorge. Je ne mange plus chaque aliment me rappelle la chair immonde de ces damnés, chaque parole a un relent d'haleine de soufre, le sucre a un gout de cendre et le sel un gout de sang. Je suis perdus, des fois je médite et je la vois, je vois la mort elle-même armée de ça grande faux, je veux la rejoindre mais des ronces de feux me retiennent au sol une voix rauque me dit de rester et j'ouvre les yeux je reviens dans ce monde. Je veux échapper à sa folie et je ne peux pas, je suis la à peine capable de me déplacer pourquoi, pourquoi donc la vie me retient ici. Je ne sais pas, je ne sais rien.

Je fixais ce ciel rougeâtre qui masquait le soleil, il évoqua en moi un profond malaise, il semblait ce rire de ma terreur à coups d'éclair moqueur, je me dis que cela était le fruit de mon imagination et alors que je m'apréttais à partir de cet endroit malsain ma tête ce mis a tournait et le noir se fit autour de moi. Durant mon sommeil je vis d'ombre disait autour de moi, le chant était cris et leurs rires pleurent. Le sol était gris et d'immense tour distordu faite de pierre noire montait vers le ciel blanc comme la neige. À mon réveil on m'expliquait ce qui cetait passait, une carence de vitamine et de sucre dans le sang, on forcit à avaler un fruit et peine celui-ci entra en contact avec ma langue que je sentis un gout de chair pourrie et je faillis en vomir. On me dit que je devais manger plus souvent et qu'on y veillerait. Je rentrais chez moi et me passa de l'eau sur le visage, je vis dans la glace mes yeux passaient du vert au jaune doré le tout en quelques secondes pour partir vers le gris acier, une profonde chaleur me déchira le torse, ma tête et alors que je mis mes mains dessus elle fure parcourut d'éclaire. Puis le sol craquela sous mes pieds ma voie se fit plus grave et je sentis une nouvelle conscience ce mélangé à la mienne. Je lutte contre ces furieux intrus mais je ne pus rien faire. Tout redevint normal a l'exception de mes yeux et avant que le noir ne voile ma vision je les vis se draper d'un voile brumeux. dans le noir le plus complet je tentais de trouver des points de repert. Ci la chose était parti elle avait emporté m'a vu avec elle. Je trébuchais et je sentis le sol heurtait ma tête

je touchais la peau à proximité du mais yeux parcourus de cicastrise et de brûlure. Assis sur une banquette avec mon conseil d'archonte le Falcon poussait c'est moteur au maximum et malgré le fait que l'habitacle soit clos l'air sentait la poussière.
-"Grand prophète Immolan nous approchons du centre de commandement."
-"Bien."
-"Hum... Vous auriez pu vous rendre plus présentable."
-"Comment ça ?"
-"Vous n'êtes ni coiffé ni rassé et vous avez plus de cernes qu'un cadavre"
-"C'est Amalan qui vont râler" dis je en souriant.
Amalan était un des plus influents aut du vaisseau monde et un ami, je ne sais comment il se porte et ma cécité ne va rien arrangée à cela. Les moteurs s'arrêtèrent doucement et la soute s'ouvrit. Un des archontes me prit le bras et me guidait en dehors du véhiculent.
-"Une fois à l'intérieur dois-je vous aider"
-"Non ça ira je suis aveugle pas sénile du moins pas encore, rappelez-moi la situation s'il vous plaît.
-"Une légion nécron se déploie sur un monde vierge, Félénor je crois"
Nous entrâmes dans le centre et je sentis une odeur poisseuse m'envahir le nez. Je sentis une partie de mon âme entrait dans le corps d'un de mes aprentit et vis par ces yeux Amalan et plusieurs eldars baignant dans un liquide vermeil.

Le vaisseaux monde dérivait lentement dans l'espace vide et silencieux, le jeune archonte regardait à travers un hublots, il touchait une rune circulaire ornait d'un losange en sont centre sur lequel était gravait deux être ce battent a l'arme blanche.

-"étrange rune". Dit une jeune eldars
-"C'est mon maître qui me la donnait."
-"Qui était il."
-"Immolan Mjelen Deleth."

La jeune femme écarquilla ses deux yeux vert à la façon d'un hibou

-"Le prophète fou." Acheva l'archonte

Il ce rappela de son maître, il avait assister a sa longue et lente déchéance vers le chemin sans retour de la folie. Mais il fut un bon maitre, il lui avait donnait cette rune à la forme si particulière avant ça disparition

-"Est-il vrais qu'il décapiter ces adversaire avant de boire le sang qui coulais par la gorge" Dit-elle
-"Non, il ne le fit qu'une fois et l'homme en question avait égorger sa fille avant de la violer"

Il se remémoras l'instant. D'un coup d'épée Immolan avait sectionner le bras au niveaux de l'épaule, et alors que le bras du champions du prince des plaisir tombé au sol il lui coupa très nettement la tête; la brandissant bien haut se barbouilla de son sang de la bouche jusqu'à c'est yeux mutilé

-"Pourquoi toute c'est question." Dit-il soucieux
-"Nous somme dans le même groupe d'apprentie prophète je me nomme Héonélin."
-"Appelle moi Tharos."

Il existe une ancienne légende eldar parlant de deux êtres se nommant Balérion la flamme du matin et Baléor la flamme du soir.
Balérion et Baléor naquire dans une autre galaxie sur une planète désertique, nul ne sait à quoi leurs races ressemblaient. Il était tous deux de puissant psyker, a un tel point qu'il pouvait se faire soulever des mers ou réduire un continent en cendres. bien vite ils voulurent augmenter leur pouvoir et mirent au point un stratagêment pour absorber les âmes de leur peuple. Leur planète possédée a ses pôles deux tours distordus qui avaient pour rôle d'absorber les âmes des défunts et les protégeaient du Warp, elles se nommaient la tour du matin et la tour du soir. Balérion se nicha au sommet de la tour du matin, Baléor au sommet de celle du soir et chacun foit qu'une âme passée à proximité ils la dévoraient allongé ainsi leur pouvoir et leur espérance de vie. La supercherie dura 500 ans, ils convinrent qu'il avait suffisamment de puissance et dévorèrent toutes les âmes présentent dans les tours et celle a la surface de la planète. Toutes les sources s'accordent à dire qu'il avait la puissance de dieux, mais il leur fallait plus d'âmes, toujours plus d'âmes. Baléor créa alors des êtres plus ou moins gros tous se battant avec leur organisme, dépourvus d'âme seul le l'esprit des deux dieux pouvait les contrôler; Balérion créa d'autres bêtes ayant une petite parcelle d'âme relayant la psyché de leur maitre. Le tout fut embarqué dans de grandes barges organiques, elles et leurs dieux partirent pour une nouvelle galaxie.
Après de longues années les nuées arrivèrent faces à l'empire eldars à son apogée et malgré de lourdes pertes les eldars anéantirent cette menace rapidement; sauf une parcelle de la flotte et lors de la dernière bataille Balérion prit une enveloppe charnelle gigantesque sur les lieux, son corps était fait de cendre et de chair calcinée le tout parcourus de flamme il était entouré de dix grandes bêtes manient tous quatre sabres.La bataille qui s'en suivit fut titanesque et dura quatre ans. Baléor s'enfuit mais Balérion lutta jusqu'au bout. Les dieux eldars lui proposèrent un marché. Lui lassait la vie sauve en échange de quoi il veillerait sur les eldars et leur viendrait en aide en qu'à de danger. Il tint parole puisque dans Malaryel là on devrait trônait l'Avatar de Khaine se trouve un cerceuille empli des cendre de sa forme charnelle

Tharos
"Dégueulasse, tu pourrais cuisines beaucoup mieux quand je viens. On dirait la bouffe de ta belle-mère."
"Tes cruelle Tharos ma belle-mère cuisine très bien."
"Bon au travaille Wéleth, ou est Héonélin."
"Elle vien pas elle a le coeur trop sensible."

Tharos saisi le bras de la victime, le corps avait était mutilé et son sang avait servi pour repeindre les murs, le bras avait reçu une dizaine de coups de couteau, ces yeux avaient été retirés de leur globe, le corps en lui-même était partiellement calciné et une large ouverture lui tenait à présent lieu de torse et l’aisé entrevoir ces tripe et ces cottes defoncés perforants son poumon droit, le reste de organes ressemblé à présent à un bouilli de couleur fantaisiste.
Wéleth prit la parole.
"Un eldars tué dans notre propre vaisseau monde. Putain ça craint."
Tharos expira lentement et lâcha.
"Bon sécurise la zone et veille à ce que ça ne s’ébruite pas."
"Puise Khaine et Balérion m'entendre."
Il s’éloigna à grands pas. Que faire, s’il passait les quartiers à proximité en quarantaine ce serait l’émeute mais s’il ne le fait sait pas le peuple s’affolerait à l’idée qu’un de leurs congénères tue, massacre mutile n’importe qui. Il avait néanmoins ça petite idée. Après une heure de marche Tharos arriva devant les portes de la salle du conseille. Il avait néanmoins ça petite idée. Après une heure de marche Tharos arriva devant les portes de la salle du conseille. Il lui fallut un certain temps pour trouver le grand prophète Pélias.
"Qui a-t-il Tharos."
"La belle-mère de Wéleth a fait de la cuisine dans la cité de Kjelon à une heure d’ici."
"Comment ça."
"Meurtre, en pleine cité, il n'est bien sûr aucun témoin, de plus l’assassin et sûrement un psyker eldars. Je propose de placer le quartier en quarantaine et d’y interroger tous les psykers."
"Je retiendrais votre idée jeune archonte, mais laisser moi m’occuper de cela, cette affaire et d’une grande importance pour les vaisseaux monde Malaryel."
"Bien grand prophète, Khaine et Balérion vous garde."

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