Niveau déontologie, on est pas différent de ceux qui se font refaire le visage ou d'autres parties du corps.
Pour l'instant, on en n'est qu'à des changements d'apparence mineurs mais il arrivera un moment où on sera capable de bien plus qu'un bout de lobe étiré vers le haut.
La grande question, selon moi, c'est où met-on la limite et pour qui? (on peut comprendre que les grands brûlés ou les victimes d'explosions y recourent pour ne pas se retrouver isolés de la majorité de la population).